D’un ciel pour un autre,
Nourricier ou apaisant,
Inspirant la promenade vers l’horizon
Ou sa chute brutale,
Parfois de colère pour mots froids sur atmosphère chaude
Et finissant déchiré,
Revient l’ombre du monde,
Intime pour tous et silencieuse par chacun,
Comptée par un clocher,
Laissant s’échapper la surprise
D’un cri mystérieux
Sans qu’il n’éteigne une seule étoile
Ou qu’il ne déchire un rideau de nuages.
Il est autant d’échos
Que je vois en monde
Comme en chaque mot prononcé
Par un seul poème
Que déclame ta présence
Qui traverse ses heures
Pour en faire notre élan simple de force.