Sur les murs figés et ordonnés comme une horloge arrêtée,
Le matin divulgue par l’ombre naissante, semblant d’un reste de nuit,
La promenade de nos vies encore mystérieuse et déjà certaine comme un dieu
Avant de s’effacer dans l’oubli de midi afin de s’étaler jusqu’au crépuscule :
Aube de chaque espoir pour chemin de tous nos rêves.