Le ver de fer tente, en fermant ses portes, de reprendre son souffle en prenant ceux des missionnaires de chaque matin pour chaque semaine en les entassant.
Leurs silences dit leur identité. Ils sont tous à n’être plus qu’un avant qu’à la hâte à la halte ils happent le temps.
Ils abandonnent la caverne, le fer et leurs souffles sitôt à la lumière, bouches ouvertes comme cheminées renversées ne fumant alors que poussière.
Ils inspirent alors leur brave fatigue jamais tout à fait blanche ou tout à fait noire, jamais demandée grise.
La nuance pour la force est protocole de prétexte et en voilà quelques-uns qui ne rentreront que sans raisons de repartir demain. D’autres savaient déjà que même le temps n’a rien d’éternel sinon que dans l’abandon.
Au soir, inquiets et fatigués ils sauront le pire pour eux par mots paresseux de langage et portés par voix lointaine et haineuse de tous les mondes, après avoir hurlé son projet vide comme l’air semblant subjugué après une tempête, qu’ils sont fainéants.
Ou alors je ne sais pas, sauf pour quelques rares, peut – on penser qu’ils soient oisifs par leurs appréhensions et leur épuisement qui gâchent toujours et encore leur sommeil approuvé par leur rides trop jeunes qui ne savent pas l’heure ? …