Rouler sur un rêve allongé pour arriver au réel
Là où la nuit goudronnée bute sur un muret
Et derrière, le sable s’agrippe aux mains du vent
Pour le franchir et s’étaler en nuance de frontière
Tandis que le ressac lisse le tapis de son baiser
Devant son appel mouillé de son désir
D’aller vers les jours inconnus qui non pour mon regard
Que l’espoir de réel et le réel d’irréel.