On arrose de mots
Les pleurs fanés
Qui s’écroulent du cœur
Et qui voutent le dos
En s’appuyant sur le temps.
Le cœur est lourd
Comme une armoire
Qui ne cesse d’être remplie.
Si de temps en temps on l’ouvre,
C’est juste pour croire
Qu’on la vide comme on croit
Que la page se noircit
Par l’encre luisante
Du poème déjà sec.
Bon jour,
La force de ce poème est de nous plonger à froid dans cette page blanche qui peut ressembler à un résumé d’une vie.
Max-Louis
Un résumé qui s’exprime aussi en instantané
Magnifique
Merci beaucoup
A reblogué ceci sur Alessandria today.
Merci pour ces partages. Vraiment
Du poème déjà sec.² cette sécheress n’est que provisoire …le poète lui donnera à boire:) merci