L’espoir sur le savoir


La porte de mes bras avec sa serrure de patience
Et son verrou de temps devenus invisibles
N’étire plus son ombre dans le mystère du temps
Et sur ma fenêtre je tire le rideau de mon souffle
Puis l’aspire pour qu’il n’y ait pas de frontière
A ce qui reste d’espoir sur le savoir.