Un reflet de jour tire la frontière jusqu’en l’instant.
Le courant de la vie s’étire dans le sommeil
Et guetté par l’aiguille du cyprès qui compte l’éternité
Et sous les pins qui scrutent au loin les lumières de l’invisible
Comme on regarde son rêve bruyant comme la lune,
Dans la maison aux rideaux d’oubli
On ne sait plus rien des limites du jour
Pour enfin le vivre.