Stupéfaction


Le train cisaille le temps qui sépare des souvenirs devenus étrangers.

Puis il s’engouffre dans un tunnel pour gagner encore plus de temps jusqu’à en oublier le temps

Dont la lumière s’écroule à la sortie faisant de notre stupéfaction la langue de nos dénis

Une réflexion sur “Stupéfaction

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