Bavardages ombrageux (2)


Peu importe que l’insecte qui bourdonne à mon sommeil soit beau ou laid.

Il n’est que selon le regard de tous pour chacun et de chacun pour tous

Et comme pour tout jusqu’au repos qui n’écrase aucune fatigue,

Sinon que celles de caresses oisives nous étalant sous l’ombre la plus
silencieuse

Et qui semble faire taire toutes les étoiles

Qui ne scintillent alors leurs espoirs qu’en code discret sur la mort.

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