Sous les rêves devenus froids et secs, l’enfant transparent jouait avec les cadavres de son printemps.
Comme pour profiter des dernières couleurs, de ses doigts verts et inombrables, le jardinier tentait d’ordonner la mort.
Mais ne vivant qu’au présent, le vent se moquait de ce que disait l’instant.
Mais pourtant, il y a une beauté, une vérité dans ce que dit le vent !
Faudra le dire au jardinier 😉