Le soleil occulte les étoiles et inonde le ciel de sa lumière.
Elle s’écoule jusque sur les innombrables feuilles argentées des oliviers bien alignés dans un champ de poussières.
Sans espace comme se noue ce poème, par la brise qui les lit ensemble, les oliviers frétillent de leurs consonnes tandis qu’ils préparent leurs voyelles enrobant l’origine de l’avenir.
Arbres centenaires, à cet instant unique de lumière et d’ombres, tandis qu’en une voix de cigales, comme le passage du devenir en souvenir, après que chacun ait dit « non » de vos fruits, vous dites « nous » comme un jeu.
Devant, seul, multiple, libre de mes genoux, du regard je me noue à vous et vous dénoue.
Le noeud qui délasse ? Quand l’évent étouffe, il faut percer le poids mort pour que le minimum d’air passe..Asphyxié par une Marguerite butée et venimeuse j’ai mis mon blog en privé afin de l’empêcher de se réinscrire chaque fois que je la supprimai….Ceci pour que tu saches que tu peux toujours obtenir accès à mon site, bonne journée Boris.
Passes alors par la page contact sur l’on menu
A reblogué ceci sur Alessandria today.
Regret de cigales, horizon de lavandes