De l’espoir il ne te reste que de la poussière d’étoiles
Et la toile de nuit à découper pour porter le deuil
En respect à tes aspirations devenues souvenirs.
Pourtant, semblant cligner des yeux comme aveuglées
Par nos lumières hystériques, pareilles à celles des appels des rues,
Les étoiles brillent sans que personne n’ait à dessiner le ciel.
Si dieu était homme, venues des rivières du ciel,
Il n’aurait pour tes prières tentaculaires comme tes racines,
Que d’improbables larmes de rires.
Ne parlant jamais d’amour au conditionnel,
Déjà depuis autant de jours passés qu’il y a d’étoiles,
Dans tous les cieux, il fait silence.
😦
Magnifique !
Merci
Avec plaisir !
Très beau… Bravo.
Merci beaucoup
J’aime beaucoup ce texte. J’ai le sentiment de porter les mêmes souliers. C’est inspirant. Merci pour ce partage. Tu viens de quel endroit ?
Sylvain
Merci. De Paris
Ne parlant jamais d’amour au conditionnel,
très beau merci un régal de vous lire.
Superbe! Je suis abonné chez toi mais je ne reçois pas les textes…
Étonnant. Peut être es tu abonné par mail ?
moi non plus Pat et je le regrette..
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