26/05/2016 par borissentenac Vraiment Dans l’infini de l’absence de mes rêves Sous la couverture de mes paupières, Les secondes de pluie s’écoulent multiples Sur l’éternité filante, vaporeuse de croyances, Embrumées comme tout ce qui est vrai ment. CliquezTwitterFacebookTumblrE-mailJ’aime chargement… Articles similaires
comment vivre sans rêves? Voir la réalité en face c’ est se brûler…joli texte néanmoins:)
j’aime beaucoup ce texte, il est très joli! :3